Ras le bol des services qui ne prennent même pas en compte Linux. Aujourd'hui, Gotomeeting (vidéoconférence via le navigateur utilisée par mon employeur) qui sur sa page de vérification annonce sans rougir :

Linux [Supported: Windows 7+, Windows Server 2008 R2+, Mac 10.9+]
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Mon "computer" va très bien, et marche mieux sous Linux que Windows. C'est juste que vous n'êtes pas capable de supporter ce qui existe dans le monde professionnel. Et je ne parle même pas du navigateur internet Firefox qui n'est pas supporté en audio (il n'affiche que la vidéo) alors que la page de test dit que tout va bien. Après on va dire que ce sont les devs qui utilisent pas les outils "corporates"...

La prochaine fois, je vous parlerai de l'interface Vmware qui insulte juste ceux qui ne sont pas sous Windows.

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Premier acte : l'émission Les grandes gueules invite Danièle Obono, récente élue France Insoumise, et la tacle (je ne trouve pas d'autre mot) sur son soutien à une œuvre musicale intitulée "Nique La France". Elle a en effet signé en 2012 une pétition pour dite-elle "défendre la liberté d'expression de ces artistes, parce que ça fait partie des libertés fondamentales", parmi d'autres personnalités. Je me fiche un peu du texte concerné, de son titre provocateur, la question est de savoir pourquoi la signature d'une pétition vieille de 5 ans est ainsi reprochée à l'élue. Cet extrait, cité dans tous les articles, est consternant.

Questionnée sur la possibilité de dire "vive la France", la parlementaire rétorque, après quelques hésitations : "Je peux dire 'vive la France', mais pourquoi, en soi ? Vous voulez que je me mette au garde-à-vous et que je chante la Marseillaise ?" Un invité en studio glisse qu'elle "signe plus facilement 'nique la France'" que "vive la France".

Soutenir la liberté d'expression n'a juste rien à voir avec la capacité à dire "vive la France". Second acte, la polémique s'est emballée depuis sur la facho-sphère et entre RMC et FI.

Je ne sais pas si, comme le soutien JL. Mélanchon, on peut dire que "leur machisme est teinté d'une forme de racisme insupportable". Mme Obono est certes une femme, elle est certes noire, mais elle est aussi élue France Insoumise, et je vais commencer à croire sérieusement au complot contre cette formation politique de la part d'une partie des "journalistes" (je gardais un fond de doute jusque là, il vient de diminuer).

Source, entre autres : http://www.ozap.com/actu/conflit-entre-les-grandes-gueules-de-rmc-et-la-france-insoumise/530787
Source de l'image : http://www.jean-luc-melenchon.fr/carnets-de-route-en-france/carnet-de-route-a-lyon-et-montpellier/

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Depuis quelques mois, j'utilise abondamment Docker, l'environnement de conteneurs facile à utiliser. C'est excessivement pratique pour tester un script, un logiciel si l'on veut éviter de pourrir sa machine de travail, ou reproduire un environnement. J'ai commencé à l'utiliser pour tester manuellement la configuration de deux serveurs Mysql en réplication, et depuis je suis persuadé que pour un développeur ou un adminsys, c'est assez inratable aujourd'hui.

Par contre, Docker accumule facilement des images inutilisées, des containers non arrêtés, des volumes obsolètes. J'ai donc collecté les astuces ici et là pour en faire un script de nettoyage, qui se trouve sur mon compte Github. A lire avant d'utiliser, il efface notamment tous les containers arrêtés, ce qui peut ne pas correspondre à votre besoin.

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Mon employeur embauche un adminsys. Que dire de plus qui ne soit pas dans l'annonce ?

Ambiance humaine, logiciels Opensources en général (y compris en interne), automatisation, Hébergement Agrée de Données de Santé, HA et sécurité à différents étages. Pour les mots clefs techniques qui comptent pour moi en ce moment sont Linux, Docker, Ansible, devops, Vmware. On a largement la place pour des gens qui rentrent pas tout à fait dans les cases, qui vont vouloir faire bouger pour aller chercher le mieux.
Je dirais surtout de venir nous parler, nous poser des questions, en ligne ou IRL. Le facteur humain est important tant pour vous que pour nous.

Pour ma part, pour situer, je suis développeur de formation, j'ai assumé l'infrastructure d'hébergement quelques temps et j'assume maintenant un rôle devop depuis que de vrais admins ont rejoint l'équipe.

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Deux ans après le dernier billets, c'est la réouverture de ce blog. Je ressens à nouveau le besoin de parler de mon métier (développeur logiciel qui fait de l'administration système, pour synthétiser, ou évangelist devop, pour la classe américaine), et de développement personnel / lifehacking. Ce qui pose la question de l'orientation de ce blog, et donc de ses lecteurs.

Quand je suis entré dans la communauté du développement personnel, tout le monde conseillait d'avoir un blog dédié à ce sujet, et un blog personnel à côté, mais je ne voyais l'intérêt que pour les personnes en faisant une activité professionnelle. Ce n'est toujours pas mon cas, donc un lieu unique qui représente tout ce que je suis (tout ce que je dis sur le net en tout cas) me suffisait. Il y a aussi la problématique d'alimenter plusieurs blogs pour fidéliser et intéresser un groupe de lecteurs.

Quand j'ai lancé mon blog d'écrivain, ayant quand même l'idée de devenir célèbre un jour sérieux sur mon souhait d'écrire et d'être lu, la question ne s'est pas posée. J'ai dupliqué mon blog, avec le même design (fainéant !), et j'ai commencé à bloguer (ce qui a asséché un peu ce blog-ci au passage). J'ai encore quelques doutes parfois, savoir sur quel blog poster tel article me pose question, quand c'est un peu à la frontière. Et si il y a quelques années avoir mon propre blog hébergé par mes soins avec un nom de domaine dédié était le minimum, la montée de Facebook et des plateformes de blogs me donne un sentiment de me marginaliser...

Enfin, si un lecteur passe par ici, ou qu'il surveille mon fil RSS, peut-il laisser un commentaire qui m'aidera à cerner ses intérêts ?

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Dans le cadre d'un projet, j'ai eu besoin de déployer Pentaho DI en l'emballant dans un container Docker pour faciliter le déploiement. Je manquais un peu de temps, et j'avais déjà écrit un playbook Ansible pour un déploiement serveur. La solution simple, un peu trichée, qui a été retenue fut :

• un Dockerfile minimaliste qui installe quelques paquets et un script entrypoint dans une image de base
• le script entrypoint qui lance le service Pentaho DI (qui n'est pas encore présent au moment de sa création)
• un inventaire Ansible qui précise l'option "ansible_connection=docker" derrière le nom du container
• un script bash qui construit l'image, lance un container, exécute le playbook pour installer le logiciel, puis exporte le container sous forme d'une nouvelle image

C'est cette dernière image qui servira à démarrer les containers.

Cette astuce me mène à l'idée qu'il est possible d'utiliser n'importe quel outil de provisionning ou scripting en lieu et place du script Dockerfile. Ansible est bien plus puissant et concis par exemple, et je peux utiliser des scripts existants pour fabriquer des images Docker. Il suffit ensuite d'avoir un serveur de build qui les construise et les pousse dans ma registry privée, et cela revient quasiment au même.

Le script de build ressemble à cela :

#!/bin/bash
image=pentahodi_base
image_done=pentahodi_full
cnt=pentaho_cnt
source=<> #chemin contenant le zip de PentahoDI
pathAnsible=<> #dossier de mes playbooks Ansible

docker build -t $image .
docker kill $cnt 2>/dev/null
docker rm $cnt 2>/dev/null
docker run -d --name $cnt $image

echo "$cnt ansible_connection=docker" > inventory.txt
docker cp $sources/pdi-ce-6.0.1.0-386.zip $cnt:/space/pentaho/
ansible-playbook -i inventory.txt $pathAnsible/pentahodi/pentahodi.yml
docker exec -ti $cnt rm /space/pentaho/pdi-ce-6.0.1.0-386.zip
docker exec -ti $cnt rm /etc/apt/apt.conf.d/01proxy

docker commit $cnt $image_done
docker save $image_done | gzip > ~/pentahodi_complet.tgz

docker kill $cnt 2>/dev/null
docker rm $cnt 2>/dev/null

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L'article "If You’re a Programmer, Your Brain Could Be Priceless to Science. Here’s Why" annonce que l'étude va être prolongée pour en tirer des conclusions définitives, mais c'est une idée courante dans certains cercles professionnels, et je la partage. Programmer, c'est (presque) comme écrire, nous faisons le même travail de manipulation de sens, de signifiants, avec la complexité de reconnaître et utiliser des modèles, des structures, des mots.

Scientists are studying programmers as they create code in order to discover if this is more of a mathematical cognitive task or a language task. Using MRIs and other types of brain scans, they are intrigued by the connection between the creativity usually displayed by foreign language learners and the way programmers handle the highly complex task of writing code. The brain normally has a completely different set of reactions when exposed to mathematical problem solving

Dr. Janet Siegmund and a team of international scientists have recently been studying programmers as they have been comprehending short source code snippets. It was hoped that specific brain regions that dealt only with code would be indicated.

Several brain regions were finally located that had direct input into the process: language processing, attention span, and working memory were all included. The ventral lateral prefrontal cortex was heavily involved. Dr. Siegmund says that much more detailed study is needed before anything like an exact mapping can be done.

Initial conclusions from the study indicated that language and memory skills were much more highlighted than mathematical ability. This might be good news for prospective programming students who are strong in language skills but rather less so in math.

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Je découvre le groupe Rivière noire. Je ne sais pas parler de musique, alors je reprend leur présentation

Nous avions encore une envie, encore un désir à exaucer, celui de remonter cette rivière qui mène à nos origines, aux origines de l’Homme, au berceau de l’Humanité, à l’Afrique.

Un jour, nos routes se sont croisées . Nous avons compris qu’il nous fallait faire ce voyage ensemble. Ensemble, remonter notre Rivière Noire. La première fois que nous nous sommes vus, c’était au studio de Jean a Paris. Il n’y avait que nous trois. Nous n’avons rien dit, nous avons juste fait de la musique. Les morceaux sont nés. Alors nous sommes partis enregistrer au Mali, à Bamako, au mythique Studio Moffou. Là-bas nous avons ri, nous avons pleuré lorsque les voix de Bako Dagnon et Kassé Mady ont fait résonner quelque chose en nous de profondément enfoui aux confins de l’âme. Alors nous avons compris: nous avions trouvé ce que nous étions venus chercher.

Cet album est le fruit de cette expérience, de toutes les rencontres que nous avons faites lors de ce voyage Nous sommes aujourd’hui heureux de vous la faire partager.

Pleins de vidéos sur leur compte Youtube pour les découvrir. J'adore le mélange musical, pleines d'influences africaines et autres que je connais trop mal pour discourir dessus, mais qui sont bonnes à écouter.

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"The first thing we do,
let's kill all the lawyers."

William Shakespeare
Henry VI, Acte 4, Scène 2

édit: pas tous, finalement

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La collecte de fond est prolongée jusqu'à fin juin, mais comme le dit le réalisateur dans une récente vidéo, inutile d'attendre : c'est maintenant qu'il faut montrer son soutien à ce grand projet amateur et bénévole, pour hâter sa sortie.
Au pire des cas, si le montant demandé n'est pas atteint, les sommes seront remboursées. Dans le meilleurs des cas, je pense qu'on se fera plaisir avec un film medieval fantasy comme rarement on a pu en voir.

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